Éduscol – Devant le monde et l’intolérance, l’homme s’interroge …« Ni victimes ni bourreaux », répond Camus – par Agnès Spiquel, Françoise Kleltz-Drapeau et François Chapuis

 

On nous demande souvent : « Qu’aurait dit Camus ? » On ne peut pas le savoir : son époque (1913-1960) et la nôtre ne sont pas comparables mais ses écrits sont là – littéraires ou journalistiques, peu importe d’ailleurs : pour lui, les mots sont les mots ; il faut les respecter, les utiliser de la façon la plus simple pour que leur clarté soit garante de leur force ; on cite souvent ce qu’il écrit en 1944 : « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde ».

Défenseur de la liberté et de la justice, il pourfend la violence et l’intolérance. Mais comment faire pour éviter les dérives terrifiantes auxquelles on assiste aujourd’hui : la violence meurtrière pour imposer ses idées, sa conception de la foi ou d’un autre idéal ? Les textes de Camus nous aident à y réfléchir.

 

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Alexis Lager
alexis.lager@gmail.com